Cette demande vise à soutenir la mise en place de nouveaux postes intégrés, calqués sur le modèle déjà établi par les Forces armées centrafricaines (FACA) à Bembéré.
Bruno Yapandé, ministre en charge de l’Administration du territoire et de la Décentralisation, a lancé un appel à la communauté internationale afin de solliciter une assistance financière et technique. Cette demande vise à soutenir la mise en place de nouveaux postes frontaliers intégrés, calqués sur le modèle déjà établi par les Forces armées centrafricaines (FACA) à Bembéré, près de la frontière avec le Tchad. Le ministre envisage de reproduire ce type d’infrastructure dans d’autres points névralgiques du pays, notamment à Amdafock, à Moyenne-Sido, à Mongoumba et à Bambouti.
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Le tout premier poste frontalier mixte a vu le jour le 21 janvier 2025 à Bembéré, situé dans la préfecture de Lim-Pendé, à la lisière nord-ouest du territoire centrafricain. Fruit d’un partenariat avec la MINUSCA (mission des Nations unies pour la stabilisation en République centrafricaine), ce poste a été construit, aménagé et équipé par cette mission onusienne. Il réunit sous une même structure plusieurs services étatiques : gendarmerie, police, douanes, services des eaux et forêts, ainsi que ceux de l’élevage.
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Un jalon clé dans la stratégie nationale de sécurisation
Cette réalisation constitue une première avancée tangible dans la mise en œuvre de la politique nationale de gestion des frontières et de son plan d’action sur dix ans, tous deux appuyés par la MINUSCA. Ce dispositif vise à renforcer progressivement la présence de l’État sur l’ensemble du territoire national, notamment dans les zones frontalières souvent négligées ou instables.
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Lors de la cérémonie d’inauguration, la représentante de la MINUSCA a rappelé que cette initiative s’inscrit dans le cadre de l’Accord de paix en République centrafricaine. L’un de ses axes majeurs est la transformation des zones frontalières en espaces sûrs, propices aux échanges commerciaux et à la croissance économique, au bénéfice des populations locales. Elle a également réitéré l’engagement de la MINUSCA à soutenir la réplication de ces postes dans d’autres régions du pays, consolidant ainsi la souveraineté et la stabilité nationale.
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