Le montant va permettre de finaliser la 2e phase du projet de surveillance urbaine entamé en 2014.
50 millions d’euros, soit 32 500 000 000 de Fcfa est le montant du prêt sollicité par le gouvernement camerounais auprès de la succursale de Hong Kong de la banque multinationale espagnole Banco Santander. L’initiative vise à financer la deuxième phase du projet de vidéo-surveillance à l’échelle nationale.
Lancée en 2014, la première phase de ce projet a permis de déployer dans les villes de Yaoundé et Douala, environ 1 500 caméras de vidéo-surveillance, 65 stations de transmission de base, 4 centres de contrôle et 1 000 stations émettrices-réceptrices. Ce montant sollicité en 2024 soit 10 années plus tard, permettra au projet d’atteindre l’un de ses objectifs qui vise à couvrir l’ensemble du pays avec 5 000 caméras de vidéo-surveillances reliées à 17 centres de contrôle.
Côté sécurité assurée par la Délégation Général à la Sûreté Nationale (DGSN), l’objectif est de lutter contre la criminalité organisée, le terrorisme et d’autres formes de criminalité qui menacent la société camerounaise. Elle sera effective grâce à l’installation de 10 000 stations émettrices-réceptrices équipées de caméras pour la communication interservices, à l’activation des installations de visioconférence pour les services de police, à la connexion des services de police via la fibre optique et la mise en place d’un système de gestion des appels d’urgence.
Selon des sources, le président PAUL BIYA a récemment donné son « ok » au ministre de l’Économie, de la Planification et de l’Aménagement du Territoire pour finaliser cet accord de prêt avec la société de services financiers.
La réalisation technique du projet est confiée à Huawei (technologie chinois), qui est le principal partenaire technologique de l’entreprise d’État Camtel et fournit la connectivité nécessaire pour la transmission vidéo.
Notre Afrik
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